Urgences dentaires
à Brossard
Certaines urgences demandent une prise en charge rapide et particulière, nous vous accueillerons dans les plus brefs délais !
Dans votre clinique à 2230 Boul. Lapinière, bureau 208, Brossard, QC • J4W 1M3
Urgences dentaires
Afin de maintenir une bouche en santé et de s’assurer de son bon état, rien ne remplace un suivi dentaire régulier et complet. Cela comprend un examen de routine et un nettoyage professionnel des dents. Malgré cela, certaines urgences demandent quant à elles une prise en charge rapide et particulière. Il arrive en effet que des situations impromptues surviennent et qu’elles représentent une menace à la santé, la fonctionnalité et l’intégrité des structures buccales concernées. C’est le cas notamment des douleurs dentaires aiguës, des abcès, des bris dentaires et des traumas buccaux (coups ou chocs reçus à la bouche).
Afin d’assurer l’évaluation rapide de telles situations et l’identification des solutions à apporter pour en minimiser les impacts, au Centre dentaire GK, votre dentiste à Brossard, nous nous engageons à recevoir les urgences dentaires dans de brefs délais. Contactez-nous et nous vous proposerons un rendez-vous rapide, à l’intérieur de nos heures d’ouverture. Notons qu’en attendant de voir le dentiste, certains gestes peuvent être posés. Voici donc quelques informations qui vous aideront à réagir adéquatement, en fonction du degré d’urgence de l’incident ou du symptôme observé.
Les bris dentaires
Il arrive, pour plusieurs raisons, que les dents s’ébrèchent ou qu’elles se cassent. Lorsqu’une telle situation se présente, il est important de consulter un dentiste pour qu’il puisse prendre les moyens appropriés pour réparer la dent. Pour l’aider en ce sens, il est conseillé de récupérer, si possible, le morceau détaché et de l’apporter lors de la consultation. Pour bien le conserver, il faut le déposer dans un contenant avec de la salive, du lait ou de l’eau. Il est à noter que chaque bris est différent et que la rapidité de la prise en charge nécessaire est aussi variable.
Une fracture mineure :
Dans les cas où il manque seulement un éclat ou un « coin » de dent, le degré d’urgence est moindre. Vu la sensibilité que cela provoque et comme la dent est alors plus friable et plus abrasive, il est néanmoins important de prévoir une consultation avec votre dentiste. Celui-ci pourra alors évaluer la situation et poser les gestes pour réparer la dent. Un polissage de la partie ébréchée suffit souvent.
La fracture moyenne :
La fracture est alors plus sévère, mais le nerf central est épargné. De la sensibilité et des douleurs légères peuvent toutefois être ressenties. De plus, une dent ainsi brisée est plus vulnérable aux bactéries qui peuvent s’infiltrer vers son centre. C’est pourquoi il est important de consulter rapidement votre dentiste.
Les fractures sévères :
À ce moment, le nerf est touché (sectionné ou à découvert), ce qui cause une sensibilité marquée, voire une réelle douleur. Du sang ou un point rouge sont généralement observables à ce moment, confirmant l’urgence de la situation et la nécessité de consulter dans les plus brefs délais.
Quoi faire en cas de douleur dentaire ?
Dès qu’une douleur aiguë se fait sentir, contactez votre dentiste, surtout si elle est accompagnée d’une accumulation de pus, d’enflure et de fièvre (des signes d’abcès). En attendant la consultation, il est possible de contrôler la douleur avec des analgésiques vendus sans ordonnance (ibuprofène ou acétaminophène) et des compresses tièdes. Si vous en êtes capable, tentez d’identifier la source de la douleur et la fréquence de ses manifestations plus vives pour aider le dentiste dans son diagnostic. Il est important de préciser qu’une consultation en cas de douleur est primordiale, même si celle-ci tend à s’estomper : l’affection qui en est la source est probablement encore présente et pourrait s’aggraver ou se propager.
Un trauma dentaire
Lors de certaines activités, notamment sportives, la bouche et les dents sont parfois soumises à des coups et/ou des chocs répétés, ce qui peut entraîner des effets dont le niveau et le degré de gravité varient. La vitesse de réaction recommandée est donc différente selon les situations :
Degré de gravité : Stable
La dent demeure stable et que la douleur est mineure et qu’elle s’estompe graduellement : il n’y a alors pas lieu de s’inquiéter, mais il faudra tout de même informer votre dentiste au sujet du trauma subi lors de votre prochaine visite de routine.
Degré de gravité : Léger
Lorsque la douleur s’atténue, mais que la couleur de la dent se modifie après un certain temps : cela indique généralement la mort du nerf interne. La dent doit alors être traitée (au moyen d’un traitement de canal) afin d’éviter que la douleur revienne et s’accentue ou qu’un abcès se développe !
Degré de gravité : Moyen
Lorsqu’après le trauma, la dent se met à bouger et/ou qu’une douleur vive est ressentie : il est alors essentiel de consulter rapidement, car cela dénote probablement une déstabilisation majeure des assises dentaires, voire une fracture racinaire ou osseuse (de l’os alvéolaire). La douleur peut être contrôlée avec des analgésiques de type ibuprofène ou acétaminophène.
Degré de gravité : Sévère
Lorsque la dent a été expulsée de la bouche : il faut voir un dentiste dans les plus brefs délais. Entre temps, veillez à récupérer la dent et à la conserver dans de bonnes conditions, en la maintenant dans son alvéole avec la langue. Si c’est trop douloureux, placez la dent dans un petit récipient contenant de la salive, du lait ou de l’eau. Dépendamment de son état, elle pourrait être utilisée lors de la réparation.
Les douleurs dentaires fortes et intenses
Les douleurs aiguës comptent parmi les urgences dentaires les plus courantes et les plus handicapantes : elles peuvent facilement perturber le sommeil et les activités quotidiennes. Elles sont aussi de celles qu’il faut prendre au sérieux, car elles dénotent souvent la présence d’un problème plus grave :
- Une carie ayant atteint le centre vivant de la dent (pulpe) ;
- Un abcès dentaire ;
- Une infection des gencives (gingivite, parodontite) ;
- Des complications post-chirurgicales (infection résiduelle, lésion à un nerf, mort du nerf, etc.) ;
- Le mauvais ajustement d’une prothèse amovible.
- Le bris d’une obturation, d’un pont fixe ou d’une couronne ;
Ces articles peuvent également vous intéresser :