Questions posées fréquemment
Pour toute autre question, contactez votre dentiste de Brossard et son équipe au Centre Dentaire GK.
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Questions générales
Quels sont les moyens de paiement acceptés ?
Afin d’accommoder nos clients et de garantir l’accessibilité de nos soins, nous acceptons divers modes de paiement :
- Argent comptant
- Paiement Interac
- Visa
- MasterCard
- Plan de financement x
- Délégations de versement d’assurance Dentaide
Acceptez-vous les assurances ?
Dans le même objectif de garantir l’accessibilité de nos soins dentaires, nous acceptons l’ensemble des polices d’assurance. Nous pouvons d’ailleurs acheminer directement votre réclamation à votre assureur, laquelle est généralement suivie d’une réponse rapide (acceptation ou non et montant accordé). Si vous n’avez pas cette option de transmission électronique, notre personnel administratif vous remettra un formulaire rempli, que vous devrez vous-même faire suivre à votre compagnie d’assurance. De plus, nous adhérons à Dentaide, un groupe géré par l’Association des chirurgiens-dentistes du Québec et faisant le lien entre les différents assureurs et les cliniques dentaires. Lorsque c’est possible, le montant de la police d’assurance nous est directement versé par Dentaide. Il ne vous reste alors qu’à payer la balance des frais de traitement, ce à quoi vous êtes tenu légalement.
Y’a-t-il un moyen d’étendre le paiement d’un traitement ?
Quelle est la fréquence idéale des visites de routine
Afin de profiter de tous les avantages d’un suivi de routine (nettoyage dentaire permettant de contrôler les accumulations de tartre, détection précoce de maladies et affections permettant des traitements rapides, etc.), ces visites devraient avoir lieu tous les 6 à 12 mois. Votre dentiste vous indiquera la bonne fréquence en fonction de certains critères : l’âge, la qualité de l’hygiène buccodentaire, l’alimentation, la fréquence de la consommation d’alcool, le tabagisme, l’état de santé général, la vulnérabilité aux infections buccodentaires, etc. Il est à noter que les enfants aussi devraient voir un dentiste sur une base régulière pour s’assurer de la santé et du bon développement de leur bouche et de leurs dents. La première visite devrait se faire dans les six mois qui suivent l’apparition des premières dents, ou à l’âge d’un an.
Mon dentiste me propose une intervention que je ne connais pas du tout, quelle attitude dois-je alors adopter ?
Notons tout d’abord que vous seul avez le droit d’accepter ou de refuser un traitement. Afin de prendre une décision éclairée, l’important, lorsque l’on vous propose une procédure qui vous est inconnue, est de vous bien informer. Pour obtenir des renseignements clairs, crédibles et en lien avec votre situation, les membres de votre équipe traitante sont la meilleure source. C’est pourquoi il est conseillé de leur poser toutes vos questions, même celles qui vous semblent simplistes ou moins adaptées. Voici quelques sujets que vous pourriez aborder :
- Le coût total du traitement ;
- La fréquence avec laquelle l’équipe traitante pratique ce genre d’intervention et la manière dont cela se déroule en général ;
- Les résultats auxquels on peut s’attendre. Il est d’ailleurs possible de demander à voir des images pour avoir une meilleure idée des effets du traitement ;
- Le nombre d’étapes/de rendez-vous nécessaires pour une telle procédure et sa durée totale ;
- La nécessité, ou non, de procéder à des retouches ou des traitements complémentaires à la suite de la procédure pour en maintenir les acquis ;
- Les alternatives au soin proposé et les avantages et inconvénients de chacune d’elles.
Les radiographies dentaires sont-elles risquées ?
Il y a très peu de risques associés aux radiographies dentaires. Non seulement le patient et le personnel en contact portent un tablier de plomb protecteur, mais seule une région limitée est exposée aux rayons X, et ce, durant une très courte période. Notons également que les appareils numériques, comme celui dont notre clinique est équipée, émettent de 75 % à 80 % moins de radiations que les radiographies traditionnelles. Bien que sécuritaires, elles peuvent toutefois être déconseillées chez les femmes enceintes.
Postopératoire
Les chirurgies implantaires sont-elles risquées ?
Les implants dentaires sont des tiges de titane insérées dans la mâchoire et destinées à maintenir une dent ou des dents de remplacement. On les installe lors d’une chirurgie faite sous anesthésie locale et préparée avec soin. Ainsi, l’implantation se passe généralement bien, sans complications. Afin d’aider la guérison et d’accroître les chances de succès, il est toutefois conseillé d’appliquer certaines mesures. Ainsi, durant 24 h à 48 h après l’intervention, il faudra éviter les activités physiques. Si on vous suggère une diète molle, il faudra modifier votre alimentation en ce sens. Il est aussi déconseillé de consommer de l’alcool pendant 72 heures et du tabac pendant deux semaines après l’intervention.
Les saignements, l’enflure et la douleur sont-ils normaux après une implantation ?
Les saignements post-chirurgicaux, qui se résorbent après quelques heures, sont tout à fait normaux. On peut néanmoins aider à les contrôler. Pour ce faire, mordez simplement dans une compresse de gaze stérile ou un linge propre. Il est à noter qu’il est aussi normal, voire désiré, qu’un caillot se forme au lieu de l’insertion. Ce dernier a un effet bénéfique sur la cicatrisation. C’est pourquoi il faut éviter de cracher pendant deux jours après l’intervention. Pour diminuer l’enflure et les ecchymoses qui apparaissent parfois dans les 48 h à 72 h suivant la chirurgie, il suffit d’appliquer de la glace sur le visage, au niveau de la chirurgie, et de la maintenir pendant 10 minutes par heure. Après 24 heures, il est préférable d’appliquer des compresses tièdes.
Pour ce qui est de la douleur, il est aussi normal d’en ressentir dans les heures, voire les jours suivant l’intervention. Pour la diminuer, prenez les analgésiques prescrits par votre dentiste, ou faute de prescription, des analgésiques en vente libre (Tylenol ou Advil). Peu importe l’antidouleur utilisé, il est essentiel de suivre la posologie. Si des antibiotiques sont prescrits, il faut également aller jusqu’au bout du traitement. Finalement, si ces symptômes (saignements, enflure, douleur) persistent, s’aggravent ou sont accompagnés de fièvre et d’une éruption de pus, contactez rapidement votre dentiste.
Est-ce normal d’avoir des appréhensions face à une chirurgie dentaire ?
Il est tout à fait normal d’éprouver des craintes face à une intervention chirurgicale, même si une telle intervention se déroule généralement sans problème et sans complication majeure. Comme elles se font sous anesthésie locale, les chirurgies dentaires sont peu douloureuses : on peut parfois ressentir certains inconforts, mais il ne devrait pas y avoir de douleurs marquées. Il est toutefois normal d’avoir de telles sensations après l’intervention. Des antidouleurs (avec ou sans ordonnance) peuvent être pris afin de contrôler ces douleurs et des antibiotiques sont parfois prescrits pour éviter les infections et favoriser la guérison. De plus, les bénéfices d’une telle intervention (contrôle d’une affection parfois douloureuse, préservation de la santé et de l’intégrité de la dentition, etc.) sont plus grands que les désagréments qu’elles engendrent (douleurs, enflure, ecchymose, saignements post-chirurgicaux), lesquels sont normalement passagers et contrôlables.
Comment peut-on favoriser la guérison post-chirurgicale ?
Pour favoriser la guérison, il faut prévoir un temps de repos, sans activité physique ou effort, pendant 24 à 48 heures. Il est aussi important de suivre les indications données par votre dentiste, notamment celles concernant l’alimentation. Il est généralement permis de manger dès que les saignements post-chirurgicaux ont cessé et que l’effet de l’anesthésie s’est résorbé. Il faut toutefois éviter de mastiquer du côté de la chirurgie et suivre une diète liquide ou molle pour les premières 24 à 48 heures. Les aliments plus mous et moins chauds sont d’ailleurs à privilégier tant que la mastication est inconfortable. De plus, votre dentiste pourrait vous prescrire des antidouleurs et des antibiotiques pour favoriser la cicatrisation. Si c’est le cas, il est important de suivre la posologie indiquée et de vous rendre au bout du traitement antibiotique, même si vous ne ressentez plus de douleurs ou d’inconforts. En cas de douleurs persistantes ou d’autres signes inquiétants (fièvre, pus, saignements récurrents, etc.), communiquez avec votre dentiste sans délai.
Ressent-on des effets particuliers après un traitement de canal ?
Après un traitement de canal, on peut ressentir une certaine sensibilité au chaud et au froid. Toutefois, cette dernière ne devrait pas perdurer plus d’une semaine ou deux. Si elle est ressentie au-delà de cette période, qu’elle s’accentue ou qu’elle se transforme en douleur plus vive, avisez vite votre dentiste. Cela pourrait être le signe d’une infection résiduelle ou d’une atteinte au nerf. Le maintien d’une bonne hygiène buccodentaire aide à éviter ce genre de complications. Il est d’ailleurs possible de procéder normalement au brossage des dents après l’intervention.
Faut-il modifier son alimentation pendant un traitement de blanchiment dentaire ?
Il n’est pas nécessaire de changer complètement sa diète lors du traitement. Il est néanmoins recommandé d’éviter de consommer des aliments ou boissons foncés ou acides comme les petits fruits, les agrumes, les tomates, le thé, le café, le vin rouge et les boissons gazeuses pendant la période d’application des gouttières personnalisées et dans les semaines suivant la fin du blanchiment (maison ou à la chaise). Cela aidera à en préserver les effets bénéfiques.
Y a-t-il des effets secondaires à un blanchiment dentaire ?
Il se pourrait que dans les jours, voire les semaines, suivant la fin du blanchiment, les dents soient plus sensibles. Comme cet effet devrait se dissiper par lui-même, il est important de contacter votre dentiste s’il s’accentue ou s’il devient permanent. Il arrive également, pendant le traitement, d’observer une certaine décoloration des gencives et tissus mous. Cet état temporaire survient lorsqu’il y a contact avec le produit blanchissant. Pour l’éviter, il suffit de moins remplir les gouttières afin d’éviter les débordements. Finalement, il est à noter qu’à long terme, les blanchiments dentaires peuvent endommager l’émail. C’est pourquoi il faut y recourir avec parcimonie et s’assurer de bien suivre les conseils professionnels de votre équipe dentaire.
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